Nasrine Seraji |
Bâtiments
« capables » mais à mon sens architectures incapables.
Les bâtiments « capables » n'obéissent qu'à une
chose : la rentabilité. Ils participent du flou, de
l'incertitude croissante des programmes. Qu'est-ce par exemple
que le programme d'une école d'architecture aujourd'hui,
a-t-on une idée précise de ce que devrait en être la pédagogie ?
De moins en moins de personnes savent répondre à ces questions.
Devant cette indécision, les programmes deviennent génériques. Et
il n'y a plus qu'à construire des boîtes dans lesquelles on
peut tout faire, dans lesquelles tout doit pouvoir changer à tout
moment. Je ne suis pas d'accord. La flexibilité n'est pas
l'apanage de ce type de démarche sans conviction. |
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