Francisco et Manuel Aires Mateus |
Les frères Aires Mateus, basés à Lisbonne, ont fait leur entrée sur la scène française où, régulièrement invités, ils ont remporté deux concours d’importance : le Centre de création contemporaine Olivier- Debré à Tours, en 2012 – dont nous avons rendu compte dans le d’a n° 215 – et la Grande Mosquée de Bordeaux, l’année dernière. L’exposition monographique du CCCOD qui vient de se terminer et son très beau catalogue nous donnent une excellente occasion de vous présenter leur parcours. |
Francisco
et Manuel Aires Mateus, associés depuis 1988, ont préféré depuis quelque
temps prendre leur distance en occupant des locaux distincts, peut-être pour
donner plus de valeur à leurs échanges sur les projets qu’ils signent en
commun. Située à l’ouest de la place du Marquis-de-Pombal, à peu de
distance de celle de Francisco, l’agence de Manuel est encombrée de
grandes maquettes d’étude. Souvent découpées dans de la mousse pour être
ensuite enduites de plâtre, elles prennent l’aspect de constructions
miniatures. Des constructions inachevées et ruinées qui s’entassent
ensuite contre les murs dans la vaste halle où bourdonnent les mille
langues parlées par une armée de stagiaires venus des quatre coins du
monde. Ces maquettes témoignent d’un univers très plastique, à des
années-lumière du régionalisme critique de l’École de Porto. Peu percés et
très sculpturaux, ces blocs opaques, dont les espaces internes s’ouvrent sans
retenue sur leurs cours intérieures, rendent compte d’une plongée dans le
monde archaïque de l’habitat traditionnel méditerranéen, creuset commun des
cultures occidentales et orientales. À première vue, la production de
l’agence peut paraître presque éclectique. Certains projets n’hésitent pas
à se rapprocher du minimalisme, comme le centre scolaire de Barquinha, qui
pourrait être commenté comme une réflexion sur les possibilités constructives
engendrées par une trame orthogonale. D’autres explorent un registre plus
organique, c’est le cas de la Grande Mosquée de Bordeaux, un espace creusé
entre deux coques fluides, l’une formant sol, l’autre ciel. Ou encore
s’aventurent à la frontière de l’op art, comme en témoigne l’immeuble de
la compagnie nationale d’électricité que les deux frères viennent de
terminer à Lisbonne face au Tage : deux barres jumelles enveloppées d’un
corset de lamelles verticales qui rendent les façades changeantes en fonction
du point de vue du spectateur, comme savent le faire les compositions de
Jesús-Rafael Soto.
BIOGRAPHIE
>
1963-1964 : naissance de Manuel et de Francisco à Lisbonne.
>
1986-1987 : diplômés de l’Université Technique de Lisbonne (FA/UTL).
> 1988
: fondation de Aires Mateus e Associados, après plusieurs années de
collaboration avec Gonçalo Byrne.
> 1998
: enseignants à l’Université autonome de Lisbonne, puis en 2001
professeurs à l’Académie d’architecture de Mendrisio.
> 2010
: livraison de plusieurs projets manifestes – complexe scientifique
de Furnas (Açores), maison à Leiria, maison de retraite d’Alcácer do
Sol – et participation remarquée à la douzième biennale de Venise.
> 2012
: lauréats du concours pour le Centre de création contemporaine
Olivier-Debré (CCCOD) à Tours.
> 2014
: lauréats du concours pour la Grande Mosquée de Bordeaux.
> 2015
: exposition de leurs travaux à l’CCCOD à Tours ; en octobre :
lauréats du pôle muséal de Lausanne.
POSITIF/NÉGATIF
Mais le fil conducteur est à chercher ailleurs, loin de l’art contemporain, dans la manière dont ces architectes sont capables de mettre entre paren- thèses tout ce qui a trait à la constructibilité afin d’oeuvrer directement sur la masse de leurs édifices comme s’il s’agissait d’une glaise aussi originelle qu’abstraite. Ils semblent prendre un réel plaisir à extruder des blocs à partir de figures géométriques simples, pour mieux mettre ensuite leur intégrité en crise, en retirant de la matière, en les creusant, en les excavant librement… Comme si ces deux moments ne se superposaient jamais exactement, comme s’ils suivaient des logiques différentes. Le bâtiment qui exprime cette idée avec le plus de force reste sans doute l’installation manifeste érigée dans l’arsenal de Venise pour la biennale de 2010 : un cube aplati et creusé par une portion de sphère décalée qui dessine un vaste porte-à-faux. Ici le convexe et le concave ne se superposent pas et tiennent des discours distincts, à l’instar des tests de perception visuelle où plein et vide imposent tour à tour des images différentes. Comme si dans la gestion de cette opposition se tenait la vérité de toute intervention architecturale. Une opposition qui renvoie à nos souvenirs d’enfant les plus lointains, à notre première conscience spatiale. À cette difficulté de faire correspondre espaces intérieurs et volumes extérieurs. Même dans le cas de l’appartement le plus petit : toute habitation avec ses pièces, ses placards, ses dessous de lits et ses fonds de tiroir s’affirme comme un univers en expansion totalement incompatible avec la forme achevée de la maison ou de l’immeuble dans lequel elle s’insère. À cette difficulté aussi de comprendre son habitation comme une construction et non une masse creusée. De comprendre le rôle exact des murs, une incompréhension que l’on retrouve encore parfois chez les étudiants en architecture…
CRYPTIQUE
Mais
cette opposition possède aussi sa propre généalogie, sa propre histoire.
Une histoire qui reste en marge des manuels d’architecture. Et qui
pourrait aller des pyramides d’Égypte – qui sont à la fois des monuments érigés
et des tombeaux creusés – aux châteaux forts médiévaux dont les murs et le
sous-sol sont percés d’une architecture cryptique insoupçonnable de l’extérieur.
En passant par les maisons en adobe de Yazd en Iran, dont les pièces
souterraines restent indépendantes de l’organisation du rez-de-chaussée. Ainsi
les salles en enfilade du complexe scientifique de Furnas (2008-2010),
dans les Açores, dessinent-elles une série maisons négatives encloses dans
la masse positive constituée de roches basaltiques qui reprend la forme archétypale
des habitations des îles. Ailleurs, éclairées zénithalement, les salles
communes de la maison de Leiria (2008-2010) viendront s’inscrire dans le
volume blanc et sculptural d’un pavillon traditionnel sans porte, ni
fenêtre, tandis que les chambres invisibles s’épancheront en sous-sol
autour de patios enterrés. Je vous propose maintenant de parcourir
plusieurs réalisations récentes des deux agences situées dans les alentours
de Lisbonne qui persistent à développer cette opposition, avant de revenir
sur le projet en cours de réalisation à Tours.
MAISON À
AJUDA, LISBONNE, 2009-2014
Commençons
par cette maison pour lever les ambiguïtés. Elle est érigée entre mitoyens
sur une colline dans un secteur résidentiel à proximité du monastère des
Hiéronymites. Examinons sa façade sur rue qui pourrait, pour un passant pressé,
ressembler à un diaphragme percé aléatoirement d’ouvertures rectangulaires et
tendu devant une structure de dalles et de poteaux. Mais il n’en est rien : vitrages
et parois opaques correspondent à des espaces creusés étroitement imbriqués. Ainsi
le renfoncement de la porte s’ouvre-t-il sur une anfractuosité qui traverse la
maison jusqu’à la toiture pour y trouver son éclairage zénithal, tandis que la
loggia du dernier étage correspond au vide du séjour, le seul espace qui
s’ouvre sans retenue de l’autre côté vers le Tage. Les parties pleines du
rez-de-chaussée abritent le garage ; celles des étages les salles de bains
attenantes aux chambres qui n’ont parfois pas d’éclairage ou de vues
directes sur la ville. Comme s’il fallait se protéger de la lumière et de
l’extérieur, comme s’il fallait les apprivoiser, les domestiquer avant de
les inviter à entrer.
MAISON À
MUDA, GRÂNDOLA, PORTUGAL, 2015
Ce paysage
naturel de la région qui s’étend à perte de vue reste étrangement homogène et
semble avoir été aménagé pour une mise en scène de Bob Wilson. D’un sol uniformément
composé de sable fin, presque blanc, émerge une douce forêt de pins et de
chênes-lièges. La maison vient subrepticement s’immiscer entre ces plantations pour
imposer sa géométrie précise et implacable. Comme par enchantement, les murs
blancs immaculés apparaissent sur un sable constellé d’aiguilles de pin séchées sans
la médiation du moindre soubassement, du moindre caniveau. Cette installation n’échappe
pas à la règle de la masse érigée et creusée : c’est un bloc extrudé qui est
ensuite évidé par une vaste cour circulaire disproportionnée et décalée… Aux
quatre angles, dans les interstices résultant de la superposition du carré et
du cercle, se glissent les différents programmes. D’abord, la piscine, qui
laisse transparaître le tracé et permet à la cour interne de s’ouvrir
largement sur l’extérieur. Ensuite, la buanderie et le parking, suivi du
corps principal formé de deux ailes. Dans la première, se succèdent sans
cloisonnements la cuisine, la salle à manger et le séjour. Dans la
seconde, les chambres et leurs salles de bains desservies par un couloir
périphérique. Enfin, le dernier angle est occupé par un appartement indépendant
réservé aux hôtes. Les pièces ne s’ouvrent ni sur la forêt ni sur la cour
principale mais prennent leur jour par de larges baies sur des cours
secondaires afin qu’aucune fenêtre ne vienne altérer cette forme abstraite
et sculpturale. Tout est empreint d’une naïveté très maîtrisée qui confine
à la radicalité, à la cruauté de la poésie vraie : ainsi les extrémités
des murs définies par l’intersection du cercle et du carré semblent aussi
acérées qu’une lame de couteau. Et à l’extérieur, ces murs sans corniches
ni autres terminaisons s’offrent comme autant d’écrans sur lesquels se
projette l’entretien infini des ombres des pins et des chênes animées par
le vent.
CENTRE
SCOLAIRE, VILA NOVA DA BARQUINHA, PORTUGAL, 2010-2012
Cette
petite commune attendait de nombreux équipements : une nouvelle école, un
gymnase, une bibliothèque. Le maire a préféré investir dans un groupe
scolaire possédant de nombreuses annexes qui peuvent jouir d’une certaine indépendance.
Isolée au sein d’un espace planté, l’école prend l’aspect d’une médina
d’Afrique du Nord. Des volumes de hauteurs différentes correspondant aux
différents programmes émergent d’une enceinte blanche quadrangulaire uniquement
percée de quelques portes donnant accès à l’école ainsi qu’aux différents
espaces mutualisés. Bureaux des enseignants, centre pour les sciences de
la vie, gymnase et bibliothèque viennent occuper les espaces périphériques
desservis par un long couloir de ceinture. Tandis que l’école maternelle
et les sections pour petits, moyens et grands de l’école primaire
s’organisent en hélice sur de multiples cours de récréation souvent
plantées et occupées par des préaux : un véritable labyrinthe, un parti
difficilement imaginable en France où, surveillance panoptique oblige, les
cours ne sont jamais fragmentées. Chaque unité s’organise comme une maison
autour du haut plafond de sa salle principale, à la fois atelier et salle
à manger. Une expérience pédagogique suivie de très près par des chercheurs
en sciences humaines de l’université Harvard.
MAISON À
MONSARAZ, PORTUGAL 2007-2016
Un
rectangle de béton vient s’encastrer dans un paysage en pente bordant les
rives tourmentées du Guadiana. Les chambres s’organisent autour de puits
de lumière, tandis que le séjour donne sur une terrasse ouverte sur le
fleuve, protégée par un fragment de coupole en porte-à-faux. Cette
architecture n’admet pas de percements arbitraires : les ouvertures
résultent de la section des masses creusées, de la pénétration d’un volume
vide dans un volume plein ou, comme l’indiquent les photos de l’oculus
ci-dessous, de l’intersection de deux concavités.
MAISON DE
REPOS POUR PERSONNES ÂGÉES, ALCÁCER DO SOL, PORTUGAL, 2006-2010
L’un de
leurs édifices les plus célèbres. Adossée à une colline en limite de la
ville, la maison de retraite sait présenter un frontispice sur la rue,
puis se plisse et se replisse comme un paravent pour s’enfoncer dans la pente
et disparaître dans le paysage. Les photos ne permettent d’ailleurs pas de
comprendre le bâtiment. Elles nous font voir des façades qui se déclinent
sur le thème du damier. Mais la maquette nous précise qu’il s’agit,
en fait, d’unités en forme de sarcophages séparées par des vides
trapézoïdaux et posées en quinconce les unes sur les autres. Chaque étage
se compose ainsi d’un chapelet de chambres traversées par le fil d’un
couloir périphérique. Pas de percements, mais des vides qui traversent de
part en part le bâtiment. L’édifice possède néanmoins deux faces
distinctes. L’une, absorbante et intime, esquisse un enclos qui capte
jusqu’aux dernières lueurs du crépuscule et se hérisse de volumes aveugles
rythmés de profondes loggias. Ainsi, face aux lits, les baies s’ouvrent
latéralement sur ces interstices. Orientées au nord ou à l’est, elles
se protègent de la violence du rayonnement direct et reçoivent leur lumière
par réflexion sur le mur de la chambre voisine. L’autre face, creusée
de fenêtres mais plus lisse et institutionnelle, s’affirme comme un
bouclier protecteur. Elle renferme les circulations et les espaces servants
placés dans la continuité des chambres. Les plafonds en pente des loggias
et des fenêtres savent faire disparaître la continuité des dalles et
accordent une abstraction maximale à cette composition de pleins
creusés de vides. On pourrait reprocher aux frères Aires Mateus le
formalisme revendiqué de cet espace réservé aux personnes âgées et
dépendantes. Mais de quoi a-t-on besoin quand on est las et fatigué, si ce
n’est d’être toujours considéré comme un individu souverain et de
baigner, une grande partie de la journée, dans une lumière assagie ?
CENTRE DE
CRÉATION CONTEMPORAINE OLIVIER-DEBRÉ, TOURS, 2012-2017
Le pari
est difficile : réaménager l’École des beauxarts de Tours, une oeuvre
vaguement art déco construite dans les années 1950 par Jacques Boille et Pierre
Patout. Un édifice sans évidente qualité architecturale, isolé de la Loire
par un écrin de logements préfabriqués datant de la Reconstruction et
devant accueillir les oeuvres d’Olivier Debré, peintre institutionnel spécialisé
dans la production de grandes toiles réclamant de grands espaces. Un
univers, on le voit, à des années-lumière des imbrications labyrinthiques et
savantes des deux architectes… Qui s’en sortiront cependant en retirant
les planchers de la partie monumentale de l’ancien bâtiment et en rasant
le reste pour construire la grande salle demandée pour le peintre du
rideau de la Comédie- Française. Posée sur un socle opalescent réservé aux installations
éphémères et à l’art contemporain, cette salle sera entourée d’un mur
épais creusé de cabinets affectés à la présentation des esquisses et de
lanterneaux où les deux frères pourront poursuivre leurs recherches
sur la domestication de la lumière.
SIÈGE DE
LA COMPAGNIE NATIONALE D’ÉLECTRICITÉ, LISBONNE, 2008-2016
Le
chantier est situé à Atero da Boa Vista, un quartier en mutation au coeur
de Lisbonne et largement ouvert sur le Tage. Avec sa forme en U montant
vers le ciel, cette silhouette semble avoir été découpée dans une
masse formée de lamelles en béton à 45° et ensuite creusée par des
plateaux de bureaux, des belvédères et une cour centrale qui descend vers
le hall d’accueil enterré commandant l’accès aux étages.
MANUEL
AIRES MATEUS… SOUMIS À LA QUESTION
> QUEL
EST VOTRE PREMIER SOUVENIR D’ARCHITECTURE ? Une pièce toute particulière
sous les toits de la maison de mon grand-père.
> QUE
SONT DEVENUS VOS RÊVES D’ÉTUDIANT ? Mon rêve, c’était de bâtir. La
condition magique et divine de transformer quelque chose en acte de bâtir.
> À
QUOI SERT L’ARCHITECTURE ? À transformer en poésie la condition très
banale qu’est l’acte de construire.
>
QUELLE EST LA QUALITÉ ESSENTIELLE POUR UN ARCHITECTE ? La persévérance.
> QUEL
EST LE PIRE DÉFAUT CHEZ UN ARCHITECTE ? La confiance qui est autant une
qualité qu’un défaut.
> QUEL
EST LE VÔTRE ? Cette même confiance.
> QUEL
EST LE PIRE CAUCHEMAR POUR UN ARCHITECTE ? La transformation de son oeuvre
pendant les travaux.
>
QUELLE EST LA COMMANDE À LAQUELLE VOUS RÊVEZ LE PLUS ? Une église.
> QUELS
ARCHITECTES ADMIREZ-VOUS LE PLUS ? Vivants : Siza et Zumthor. Morts :
Borromini et Palladio.
>
QUELLE EST L’OEUVRE CONSTRUITE QUE VOUS PRÉFÉREZ ? Saint-Charles-des-Quatre-Fontaines,
de Borromini.
> CITEZ
UN OU PLUSIEURS ARCHITECTES QUE VOUS TROUVEZ SURFAITS. Je ne sais pas si
on peut dire ces choses-là. Les gens le savent déjà.
> UNE
OEUVRE ARTISTIQUE A PLUS PARTICULIÈREMENT INFLUENCÉ VOTRE TRAVAIL ? L’oeuvre
complète de Richard Serra.
> QUEL
EST LE DERNIER LIVRE QUI VOUS A MARQUÉ ? L’Amie prodigieuse, de Elena
Ferrante.
>
QU’EMMÈNERIEZ-VOUS SUR UNE ÎLE DESSERTE ? Ma femme.
> VOTRE
VILLE PRÉFÉRÉE ? Rome.
> LE
MÉTIER D’ARCHITECTE EST-IL TOUJOURS ENVIABLE ? Bien sûr.
> SI
VOUS N’ÉTIEZ PAS ARCHITECTE, QU’AIMERIEZ-VOUS FAIRE ? N’importe quoi
d’autre, économiste ou peintre.
> QUE
DÉFENDEZ-VOUS ? Ce geste auquel je tiens tant : changer la tension de
l’image à la vie.
>
QUELLE QUESTION AURIEZ-VOUS AIMÉ QU’ON VOUS POSE ? La dernière chose que
je voudrais soulever, c’est l’importance de donner un message d’espoir
pour les jeunes.
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