HARDEL + LE BIHAN, La juste mesure des choses

Rédigé par Maryse QUINTON
Publié le 28/02/2017

Portrait de Mathurin Hardel et Cyrille Le Bihan

Article paru dans d'A n°251

Mathurin Hardel et Cyrille Le Bihan font partie de cette talentueuse génération d’architectes français nés dans les années 1970 qui, après une quinzaine d’années de pratique, se voient aujourd’hui confrontés aux incertitudes qui entourent leur métier en plein bouleversement. Leurs aînés ont peu fait pour anticiper la mise à mal de la profession, tandis que les plus jeunes, installés en pleine crise, ont fait de ce contexte frugal leur raison d’être. Alors ils observent, jouent le jeu sans être dupes et prennent les devants en questionnant cette nouvelle donne avec clairvoyance. Rencontre avec un tandem lucide qui, face à cette réalité, réalise des bâtiments à l’écriture déterminée, parés pour affronter le temps.

Certaines associations professionnelles naissent de l’évidence, tendance fusionnelle où les débats sont rapidement clos par le fait d’être d’accord sur tout, tout le temps. D’autres, au contraire, puisent leur force commune dans ce qui les différencie. Mathurin Hardel (né en 1971) et Cyrille Le Bihan (né en 1974) font partie de cette seconde catégorie. Tous deux Parisiens, ils n’ont pas grandi dans le même village, n’ont ni fait leurs études ensemble ni charretté dans les mêmes agences. Rien ne prédestinait particulièrement la rencontre des deux associés si ce ne sont les hasards de la vie, qui font souvent bien les choses.

Ingénieur de formation, diplômé de l’École spéciale des Travaux publics, Mathurin Hardel prend la tangente direction Paris-La Villette. Il devient architecte en 2001 après un long détour chez MVRDV où, parti pour quelques mois, il restera deux ans. Il se frotte à l’impétueux Winy Maas, alors en pleine boulimie de communication. Cela tombe bien, Mathurin est très à l’aise avec l’outil informatique qui, découvert assez tôt, le libère d’une appétence modérée pour le dessin. À Rotterdam, il travaillera moins sur les projets architecturaux que sur les publications éditoriales, notamment les ouvrages Costa Iberica (1998) et Metacity/Datatown (1999).

Avant d’intégrer Paris-Val-de-Seine pour devenir architecte, Cyrille Le Bihan fait quelques pas de côté : des envies de design contrariées, deux ans de droit et le désir d’ailleurs. Une année au Québec, une autre à New York, où il travaillera chez 1 100 Architect et Thomas Leeser. De retour en France, il entre dans l’agence fraîchement créée par Alain Moatti et Henri Rivière, qu’il a rencontrés dans un bar.

Les trajectoires de Mathurin Hardel et Cyrille Le Bihan se télescopent à Paris, par l’intermédiaire d’une amie commune. Puis, tout est allé assez vite. Car d’un bijou précieux à la création d’une agence d’architecture, il peut parfois n’y avoir qu’un pas. La bague de fiançailles offerte par Cyrille à sa future femme est l’occasion d’une première collaboration avec Mathurin : la charte architecturale d’une boutique en ligne de haute joaillerie. Un troc possible bague contre projet se profile mais ne verra jamais le jour, tout comme la commande improbable d’un restaurant sur le thème du tuning quelque temps plus tard. Peu importe. L’anecdote est restée, amorçant le début d’une longue histoire dont le premier chapitre s’écrit au mitan des années 2000. Leurs accointances se concrétisent en 2003 par la réalisation d’un premier appartement conçu à quatre mains pour un collectionneur d’art. Ils ne se souviennent pas avoir tergiversé quant à leur association, « évidente et naturelle ». Ils élisent domicile cité de l’Ameublement, dans le 11e arrondissement parisien, partagent leur plateau avec l’agence LAN, sous-louent à d’autres. Les contours d’une structure se dessinent. Forts de ces premières références, Mathurin Hardel et Cyrille Le Bihan sont lauréats des Nouveaux albums des jeunes architectes lors de la session 2005-2006. Cette année-là, ils partagent l’affiche avec TVK, Tank, Bourbouze & Graindorge ou Encore Heureux. Parce que Cyrille n’est pas encore diplômé (il le sera en 2008), seul Mathurin est officiellement distingué. Alors pour la photo, il arbore un tee-shirt avec la photo de son acolyte, clin d’œil à l’absurdité de la situation. « Avec les Albums, tout a été plus facile du jour au lendemain », confient-ils.

 

Histoires de hiérarchies

En 2006, l’agence H+LB est officiellement créée. Depuis leur rencontre, ils ont mené un certain nombre de projets pour des particuliers : des appartements, des maisons mais aussi des surélévations à Paris. Une riche expérience qu’ils ont su faire fructifier : « À travers ces commandes difficiles à mener et chronophages, nous avons découvert tous les ressorts de l’administration. Nous avons énormément appris de ces petites opérations très complexes qui intègrent toutes les dimensions de l’architecture, y compris techniques. Par la suite, on est souvent venu nous chercher pour notre expérience à Paris car nous nous étions déjà heurtés à beaucoup de choses. Tout ce qui nous sert aujourd’hui s’est construit dans ces années-là. »

Peu après les Albums, Mathurin Hardel et Cyrille Le Bihan remportent le concours pour le siège de PAP (Particulier à particulier) : 5 000 m2 de bureaux dans le 5e arrondissement, livrés en 2010 : « C’est le premier bâtiment qui nous a fait changer de statut. » Et qui leur a facilité l’accès à la commande. Avec ce bâtiment, ils découvrent avec douleur que l’aménagement intérieur échappe très souvent aux architectes dans le domaine du bureau. « C’est très frustrant, alors on se concentre sur les invariants, sur ce qui va rester quels que soient les choix absurdes des utilisateurs. » Dans le même temps, ils réalisent leurs premiers logements à Sartrouville. Une opération réalisée dans la souffrance où ils subissent les effets pervers du marché négocié : « Nous avons refait 20 fois le projet. On nous a envoyés au casse-pipe dans un contexte conservateur. » De ces premières expériences fondatrices, ils ont retenu l’essentiel : l’architecture est bel et bien un combat de chaque instant.

Depuis, ils ont livré différents projets à Paris, parmi lesquels 24 logements rue Pajol dans le 18e arrondissement. Derrière ses façades en brique pleine, ce discret bâtiment d’angle résume bien la hiérarchie des idées qu’ils s’attachent systématiquement à mettre en place pour faire face au marché de l’habitat, certes dynamique mais très contraint. « Nous avons mis l’argent dans ce qui nous a semblé être important pour l’inscription du bâtiment dans l’espace urbain, mais aussi dans les valeurs d’usage : préserver une proportion d’ouvertures généreuse, mettre en œuvre un matériau de façade digne malgré le budget, une serrurerie de qualité, des panneaux solaires posés à plat et non inclinés, de vrais garde-corps sur la terrasse technique… Des petites choses qui, cumulées, nous paraissent fondamentales et pour lesquelles il faut généralement se battre. Dans le logement, tout est prédéterminé et nos marges de manœuvre sont devenues très faibles. La régression est assez marquée. Aujourd’hui, le luxe est d’habiter un appartement des années 1970 ou de l’haussmannien : étrange vision du progrès ! »

Après PAP, pour le même maître d’ouvrage, ils livrent en 2013 un programme de 12 500 m2 de bureaux dans la ZAC Clichy-Batignolles au sein de l’îlot Saussure. Nom de code : Strato le projet le plus important réalisé par l’agence, qui, avec une trentaine de personnes au compteur, n’a jamais réellement connu de temps mort. Aujourd’hui, travailler pour les particuliers devient délicat à intégrer dans leur fonctionnement. Ils ont réalisé en 2015 à Paris la Maison H en charpente acier : 49 m2 au sol sur six niveaux, pour 180 m2 de Shon : « Notre première tour ! sourient-ils. Ces projets font partie de l’histoire de l’agence. Même si nous continuons à en accepter de temps en temps, nous ne sommes plus structurés pour ces commandes, qui relèvent de l’affectif. Les clients sont des maîtres d’ouvrage amateurs qui ne connaissent pas les limites de leur rôle. C’est très énergivore et souvent source de tensions. »

 

Parisiens à Paris

En 2012, Mathurin Hardel et Cyrille Le Bihan inaugurent le cinéma Étoile Lilas sur un site à forte visibilité, porte des Lilas. Complexité structurelle, porte-à-faux, empilement, le bâtiment va chercher les vues sur la ville proche et lointaine par ses circulations, se donne à voir sans tomber dans l’excès. Ce projet, « bavard dans le bon sens du terme », leur ouvrira les portes de la province, et dans un premier temps celles de Bordeaux, où ils sont retenus pour réaliser un multiplexe de 13 salles aux Bassins à flot (livraison prévue en 2018). « À l’époque du cinéma Étoile Lilas, nous étions un peu coincés à Paris. Par le hasard des choses, il se trouve que nous avons construit sur des sites intra-muros très visibles. Bien évidemment, c’était une chance inouïe vu notre âge et la taille de l’agence. Mais le contrecoup, c’est que nous avons rapidement été considérés comme “servis”. Pour maintenir l’activité, il nous fallait travailler ailleurs. Nous avons effectué des démarches qu’on n’avait jamais faites : rencontrer les acteurs des villes et les décisionnaires pour leur présenter l’agence. Aujourd’hui, les choses se sont concrétisées. Travailler hors de Paris nous enrichit et nous fait beaucoup de bien. » À Bordeaux, ils construisent également en première ligne sur la Garonne dans le quartier Brazza. À Nantes, deux programmes mixtes logements-bureaux dans le quartier Prairie-au-Duc et dans la ZAC Malakoff Centre. À Lyon, le futur Campus Orange à la Part-Dieu. À nouveau des sites exposés.

À ausculter la production de l’agence Hardel + Le Bihan, on est happé par la constance des préoccupations : la détermination de l’écriture, la quête de justesse, une attention portée à ce qui ne se voit pas. Trame forte, grille assumée, empilement, porte-à-faux, décalage de niveaux, leur répertoire, constitué au fil des projets, s’est autoalimenté dans un cercle vertueux. L’obsolescence esthétique est une préoccupation réelle : « C’est très difficile à anticiper. On peut imaginer qu’une certaine forme de sobriété est moins soumise à ce phénomène. » Ils défendent l’idée « qu’un bâtiment doit être fidèle à ce qui a été dessiné », question d’honnêteté intellectuelle. Comment travaillent-ils à deux ? « On est souvent d’accord, on n’est souvent pas d’accord. C’est ce qui fait progresser le projet. » Leurs personnalités se complètent : Cyrille très intuitif, Mathurin plus analytique. Plus forts à deux que séparément, pensent-ils. Ils rêvent de construire une école, un domaine qui leur échappe complètement. « Le concept de l’agence polyvalente qui sait tout faire, tout programme, tout type d’échelle, semble plus difficile à mettre en valeur qu’à d’autres époques. Les maîtrises d’ouvrage ont besoin d’être rassurées par des architectes spécialisés dans tel ou tel domaine. On essaye néanmoins de se diversifier car, d’un point de vue intellectuel, il est très stimulant de découvrir des situations nouvelles, de travailler sur des projets variés. La curiosité et l’envie se renouvellent. »

 

Le Monde

Sur la page d’accueil de leur site Internet subsiste l’image d’un concours perdu. Et pas n’importe lequel. En 2014, ils terminent dans la short-list d’une compétition prestigieuse : le nouveau siège du Groupe Le Monde, à Paris : « Une opportunité exceptionnelle en termes de médiatisation, de défi de conception, de contexte de concours. On s’est retrouvés au milieu des Pritzker et des stars internationales, non pas avec la prétention de les battre mais avec, a minima, la volonté de ne pas être ridicules. » S’ensuit une charrette monstre exigée par des délais assez courts et l’envie d’en découdre : « Nous avions constitué une belle équipe, on s’est mis à y croire. » Difficile pour autant de renier leurs convictions profondes. Face à l’enjeu, ils mettent les hommes au premier plan. Très réussi, leur projet est conçu du dedans vers le dehors, dans une stratégie d’effacement au profit de ceux et de celles qui font le journal, chaque jour. Raté. C’est finalement le geste tape-à-l’œil de Snøhetta qui l’emportera.

Il y a des défaites plus héroïques que d’autres. « Nous sommes très fiers que l’idée de ce projet ne soit pas l’architecture mais l’humain. Nous n’avons pas de regret car nous n’aurions jamais pu faire un projet aussi spectaculaire que Snøhetta. Ce n’est pas notre façon de réfléchir. » Pratiquant facilement l’autocritique, ce qui est assez rare dans leur milieu, ils concèdent qu’à s’être concentrés sur une vision plus soucieuse des usages et du confort, ils ont sous-estimé l’enjeu d’un site stratégique qui exigeait plus d’emphase. Mais qu’importe. Cette aventure a solidifié leur armure, leur a donné de l’épaisseur… et leur a ouvert les portes de l’Afrique.

Redman, l’assistant de la maîtrise d’ouvrage du concours, les y invite en effet pour participer au concours d’une tour. Finalement perdue, l’aventure leur offre l’opportunité de travailler sur un projet de résidence étudiante à Dakar et de se confronter à d’autres systèmes. « Les conditions n’ont rien à voir avec ce que nous connaissons. Les chiffres sont tellement éloignés des nôtres qu’ils nous obligent à aller à l’essentiel. C’est un contexte probablement proche de ce qu’ont connu les architectes de la Reconstruction, une situation d’urgence où il faut faire beaucoup, très vite et avec très peu de moyens. La situation est assez vertueuse car elle nous conduit à réfléchir à des fondamentaux, à des solutions simples qui marchent, qui vont durer dans le temps, sans entretien. On souffre mais c’est passionnant de se confronter à un cahier des charges différent en tout point de vue. »


Demain, être architecte

Avec Chartier-Dalix et Franklin Azzi, Mathurin Hardel et Cyrille Le Bihan se sont lancés dans une aventure excitante : Demain Montparnasse. Première étape de ce projet, la rénovation en profondeur de la tour éponyme. Ils font partie des sept équipes invitées à concourir. Face aux mastodontes (OMA, Dominique Perrault, Architecture Studio…), ils ont décidé de « jouer la carte de l’ultra-local ». Alors pour travailler, ils ont créé l’agence nAOM (nouvelle Agence pour l’Opération Maine-Montparnasse, clin d’œil historique), installée in situ, au 44e étage de la tour Montparnasse.

L’équipe lauréate sera désignée l’été prochain. Cette association est également née de la nécessité de questionner leur pratique et une profession mise à mal : les études de faisabilité « réalisées trop rapidement et sans moyens alors que c’est le moment stratégique du projet, celui où il faut investir du temps et de l’argent », les marchés négociés, « la procédure la plus dangereuse qui soit, surtout pour les jeunes agences désarmées et économiquement fragiles », la suppression du COS et ses effets pervers, où « la réflexion devient purement quantitative pour tirer le maximum d’un site. Aucune contre-mesure ne vient corriger cet effet que tout le monde déplore ». Au métier qui se dilue, à la communication toujours plus présente : la liste est longue. « Les architectes sont de plus en plus sous pression, de moins en moins payés pour sortir un projet. » Travailler plus pour gagner moins : de l’aveu de toute une profession, telle semble être la nouvelle donne avec laquelle il faut désormais composer.

Lucides sur les enjeux actuels, Mathurin Hardel et Cyrille Le Bihan autopsient leur profession sans tabou. Si les architectes aiment se plaindre, eux cherchent des solutions. L’été prochain, l’agence déménagera dans le 10e arrondissement. Une étape qui va bien au-delà d’une simple mise en cartons des quatorze années passées sur le plateau de la cité de l’Ameublement qu’ils occupent désormais seuls. On ressent chez eux une certaine urgence à changer d’air et d’espace pour réinterroger leur façon de fonctionner, pour faire face à ce métier qui change si brutalement. « Nous voyons ce déménagement comme une remise à zéro de notre univers de travail pour faire éclore de nouvelles idées ».

Les idées n’ont pas attendu que les cartons rejoignent la rue de Paradis pour émerger. Partant du constat que le suivi de chantier leur échappe bien trop souvent en promotion privée, ils viennent de créer avec Uriel Ruleta, fidèle collaborateur de l’agence, une nouvelle structure qui fait de l’exécution sa spécialité, rassurante pour le maître d’ouvrage toujours frileux, et qui pourrait, à la façon d’un BET, travailler avec d’autres architectes. « Cette remise en question est liée au constat d’inadaptation de notre manière de faire face à la situation actuelle : crise économique, remise en question du rôle et des responsabilités de l’architecte. On se questionne et on essaye d’améliorer les choses ». Un premier pas dans le développement d’une structure d’architecture qu’ils espèrent mieux adaptée à la conjoncture. Mathurin Hardel et Cyrille Le Bihan gardent néanmoins une haute idée de leur métier mal en point. « Nous essayons d’être sérieux dans le bon sens du terme. On dépense énormément d’argent qui ne nous appartient pas. La moindre des choses, c’est bien d’être ultra-sérieux quant à la manière de dépenser ces sommes et de faire des projets qui doivent répondre à des besoins et durer dans le temps. Nous sommes extrêmement attentifs à ce cahier des charges pour ne pas décevoir le client, certes, mais aussi pour pouvoir passer devant nos bâtiments dix ans plus tard sans avoir à rougir. » À bon entendeur.

 

Chronologie

 

1971 : naissance de Mathurin Hardel

1974 : naissance de Cyrille Le Bihan

2001 : diplôme de Mathurin Hardel à Paris-La Villette

2005-2006 : lauréats des AJAP

2006 : création de l’agence H+LB Architectes

2008 : diplôme de Cyrille Le Bihan à Paris-Val-de-Seine

2011 : livraison du siège de PAP, Paris 5e

2012 : livraison du cinéma Étoile Lilas, Paris 20e

2013 : livraison de l’immeuble de bureaux Strato, îlot Saussure, Paris 17e

2014 : short-listés pour le concours du nouveau siège du Groupe Le Monde

2016 : short-listés pour le concours Demain Montparnasse

 

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