Studiolo du Palais ducal de Gubbio, marqueteries attribuées à Baccio Pontelli, 1478-1482, MET, New York. |
Difficile de séparer l’artiste de l’architecte et de l’ingénieur au Quattrocento. L’exposition « Le trompe-l’œil de 1520 à nos jours » à Paris est l’occasion de revisiter une pratique ludique de mystification du réel qui a constitué un exercice artistico-scientifique des Ponts et Chaussées au XVIIIe siècle.
|
Les architectes ont la cote au cinéma cet automne : leurs pouvoirs ambivalents s’expriment aussi … [...] |
Tendus vers le futur perpétuel des mises à jour, rares sont les architectes qui cherchent l’insp… [...] |
Catherine Ringer, moitié des Rita Mitsouko, a exposé en juin dernier à l’ENSA de la Villette de… [...] |
Quel rapport entre Heinrich Tessenow, L’Aimant et Anatomie d’une chute ? Réponse dans la… [...] |
Comment un regard singulier peut-il transformer notre perception du monde ? Réponse dans lâ€â€¦ [...] |
L’utopie urbaine, trace matérielle ou mirage de lanterne magique ? Réponse avec Jean-Paul… [...] |
Réagissez à l’article en remplissant le champ ci-dessous :
Vous n'êtes pas identifié. | |||
SE CONNECTER | S'INSCRIRE |
> Questions pro |
Quel avenir pour les concours d’architecture ? 4/6
L’apparente exhaustivité des rendus et leur inadaptation à la spécificité de chaque opération des programmes de concours nuit bien souvent à l… |
Quel avenir pour les concours d’architecture ? 3/6
L’exigence de rendus copieux et d’équipes pléthoriques pousse-t-elle au crime ? Les architectes répondent. |