Cambrésis, 2006 |
Dossier réalisé par Valéry DIDELON Cristina Conrad, architecte-conseil des Bouches-du-Rhône, déplore les conséquences de la mise en place du nouveau permis de construire et l'influence limitée des ACE sur les opérations ANRU. |
D’A : En tant qu’ACE aujourd'hui en poste dans les Bouches-du-Rhône, êtes-vous souvent confrontée à la question du logement ?
Cristina Conrad : En réalité, de moins en moins. Je l’ai néanmoins été récemment dans le cadre d’Euroméditerranée, sur deux opérations différentes. La première m’a posé beaucoup de problèmes, car les plans d’intérieurs étaient inconnus. Les appartements étaient mono-orientés au nord, à l’ouest et à l’est. La façade sud était aveugle sur une hauteur de 17 étages pour cause de limite séparative. Par déduction, j’ai compris qu’il s’agissait d’une opération vouée à la défiscalisation.
Article paru dans le dossier "La France : état d’inventaire"
Lisez la suite de cet article dans :
N° 225 - Avril 2014
Réagissez à l’article en remplissant le champ ci-dessous :
Vous n'êtes pas identifié. | |||
SE CONNECTER | S'INSCRIRE |
> Questions pro |
Quel avenir pour les concours d’architecture ? 4/6
L’apparente exhaustivité des rendus et leur inadaptation à la spécificité de chaque opération des programmes de concours nuit bien souvent à l… |
Quel avenir pour les concours d’architecture ? 3/6
L’exigence de rendus copieux et d’équipes pléthoriques pousse-t-elle au crime ? Les architectes répondent. |