Les étudiants de l'École nationale supérieure d'architecture et du paysage de Lille sur le terrain - ©Chaire Post-minier |
Dossier réalisé par CATHERINE BRETRAM, VIGINIE LAPIERRE, LUCAS MONSAINGEON ET CATHERINE SEYLER par Béatrice Mariolle, docteure en architecture, professeure d’architecture à l’École nationale supérieure d’architecture et de paysage de Lille et codirectrice de l’agence Bres+Mariolle et associés Chaque année, une cité minière nous accueille, mes étudiants de l’ENSAP de Lille et moi-même. Nous passons beaucoup de temps sur le site à la rencontre des acteurs politiques et techniques, mais surtout associatifs et citoyens. Cette approche est guidée par la nécessité de former des architectes de terrain, architectes du quotidien, capables de dialoguer et de saisir les situations présentes, de considérer un patrimoine ordinaire habité par des familles en grande précarité et de proposer des projets réalisables dans un cadre d’économie faible. L’adaptation énergétique devient une occasion d’inventer et d’expérimenter, au-delà des normes et des cadres technologiques.
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