© Coline Bublex |
Dossier réalisé par Tarik ABD EL GABER Entretiens croisés avec quatre ABF : Fabien Sénéchal, président de l’Association nationale des architectes des bâtiments de France (ANABF) ; Mahmoud Ismail, chef de l’UDAP de l’Essonne (91) ; Benoît Léothaud, chef de l’UDAP des Hauts-de-Seine (92) ; Ana-Cristina Nitescu, adjointe au chef de l’UDAP des Hauts-de-Seine (92) ; Marc Louail, chef de l’UDAP de la Nièvre (58) et ancien chef de l’UDAP de Seine-Saint-Denis (93) Propos recueillis par Tarik Abd El Gaber Lors des auditions réalisées pour le rapport fait au nom de la Commission d’enquête sur l’efficacité des politiques publiques en matière de rénovation énergétique du 29 juin 2023, une petite musique semblait résonner parmi les personnes interrogées. Anciens élus et experts accusaient, parfois très directement, les architectes des bâtiments de France (ABF) d’être trop restrictifs sur la question de la rénovation du bâti ancien. D’autres témoignages, notamment de membres du CNOA, considèrent les ABF comme des « gardiens du temple, de notre patrimoine, de sa beauté1 ». Nous avons interrogé plusieurs ABF et le président de l’Association nationale des architectes des bâtiments de France (ANABF) pour comprendre en quoi consistent réellement la mission des ABF et leur rôle clé dans la conservation/mutation des enveloppes du bâti ancien.
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