Vue aérienne du parc de la Villette |
Dossier réalisé par Loïse LENNE Alors que la demande pour des bâtiments
iconiques faisant événement semble se tarir, des manifestations événementielles
ne cessent de s’organiser en tous lieux. Ces ponctuations du temps
auraient-elles remplacé celles produites par l’architecture dans l’espace de
nos villes ?La question de l’événement se trouve au centre du parc de la
Villette depuis sa création. Des événements résultant de l’expérience physique
des lieux que prônait et schumi à l’actuelle ferveur événementielle, en passant
par l’icône philharmonique, ce lieu a en effet connu des événements de
différentes natures qui se sont succédé sans se rejoindre, dans un perpétuel
contretemps. |
Leur récit permet de revenir sur cette notion utile et changeante d’événement en architecture et d’en comprendre les récentes modifications.
Le parc
a célébré cette année ses 35 ans lors d’un week-end festif. Trente-cinq ans,
déjà ? Pas tout à fait, puisque l’inauguration par François Mitterrand date
d’octobre 1987. Un des moments fondateurs de ce parc aux millions de visiteurs
annuels remonte cependant bien au 25 mars 1983, jour de la désignation officielle
de Bernard Tschumi pour son aménagement. Une occasion à ne pas manquer pour
attirer le public au parc, à la sortie de l’hiver. Une telle manifestation
s’inscrit parfaitement dans la politique événementielle de l’Établissement
public du parc et de la grande halle de la Villette (EPPGHV) qui, si elle n’a
pas été inventée avec l’arrivée en 2015 du président Didier Fusillier, a
largement été favorisée par celui-ci. Si Le Parisien titre alors sur la «
richesse » d’un site « pluridisciplinaire » qui « ne cesse de se réinventer »,
Le Figaro trouve plutôt que le parc « cherche sa voie » et a pris « un sacré
coup de vieux ». Fidèle à son histoire, la Villette reste un lieu politique
dont on pourrait célébrer chaque année l’anniversaire, tant ses métamorphoses
ont jalonné l’histoire urbaine parisienne depuis la fin du XIXe siècle. Ce
laboratoire historique de 55 hectares représente ainsi différents modes de voir
et d’aménager la ville et son histoire révèle de façon singulière des
modifications dans notre rapport au temps.
Des abattoirs au parc de la Villette :
Pensé après-guerre sur le terrain des abattoirs généraux de la ville de Paris prévus par Haussmann, le Marché d’intérêt national de la viande, projet rationnel pour la ville moderne dont il faut accompagner le progrès inébranlable, se trouve dans une situation de quasi-obsolescence avant même son achèvement. Dès la fin des années 1960, la presse s’inquiète de ces travaux infinis dont le coût ne cesse d’augmenter, et l’intérêt des abattoirs publics est remis en question, au profit de structures locales. À peine créé, cet immense complexe industriel est déjà en retard. Aussi, dès 1970, d’autres futurs s’envisagent. Ce terrain en bordure du nouveau périphérique, dans un quartier pauvre, devient alors un formidable lieu d’expérimentation. Avant la fermeture des abattoirs en 1974, un théâtre est déjà aménagé dans l’ancienne bourse, et par la suite un cirque, une brocante, le premier skatepark de France, et même un dragon, mythique sculpture et jeu pour enfants de François Ghys. Pour Jean Sérignan, alors chargé de l’aménagement du secteur, il s’agit de ne pas laisser ces lieux à l’abandon tout en encourageant les expérimentations où l’espace devient une surface libre à conquérir. L’architecture, elle, est sans importance. Une méthode intuitive, que l’on appellerait aujourd’hui préfiguration, étayée par les études de l’APUR, de laquelle émerge rapidement l’idée d’un futur parc avant un premier concours d’idées en 1975. Pendant ce temps, on libère des emprises bâties en sélectionnant les bâtiments qui seront conservés. En 1980, Adrien Fainsilber remporte le concours du musée des Sciences et des Techniques, reconversion de la salle des ventes des abattoirs. Ce contexte permet au gouvernement Mitterrand de faire de la Villette l’un des premiers Grands Travaux. Outre la réhabilitation de la grande halle, le concours pour l’aménagement du parc est lancé en 1982. Il s’annonce d’emblée comme un moment important dans le monde de l’architecture ; 471 équipes s’y pressent, suivant un programme aussi synthétique qu’intelligent dans l’ouverture qu’il laisse aux candidats, dans le but de produire les formes nouvelles d’un « parc du XXIe siècle », rendu à la fois « actif » par les divers publics qui doivent le fréquenter, « permanent » tant au long de la semaine que des saisons et surtout « “expérimental” : c’est-à-dire lié à la vie urbaine, à son rythme et à ses recherches, en permettant des “animations” renouvelées, au lieu d’un paysage immuable ». Le jury hétéroclite se déchire cependant, et la polémique qui en découle renforce les attentes à l’endroit du projet du jeune Tschumi. Si tout parc peut être vu, d’un point formel, comme un événement dans la ville – en tant que rupture dans la densité, les couleurs, les revêtements et les ambiances –, celui de la Villette l’est de fait aussi par sa dimension, son emplacement et son programme, ouvert aux aléas et aux temporalités multiples de la vie urbaine ; celui de Tschumi enfin assume une idée de l’événement, qu’il promeut au rang de théorie. De la superposition des systèmes séparés de lignes (les chemins), surfaces (les pelouses) et points (les éléments bâtis) doit naître l’événement. Il en résulte un projet dont la réussite tient au fait de s’être constitué comme un ensemble cohérent sur un terrain aussi vaste, sans tomber dans l’uniformité. Un parc que l’on aborde physiquement comme un tout, mais que l’on envisage intellectuellement et qui continue de se construire par objet.
Des abattoirs au parc de la Villette :
Pensé
après-guerre sur le terrain des abattoirs généraux de la ville de Paris prévus
par Haussmann, le Marché d’intérêt national de la viande, projet rationnel pour
la ville moderne dont il faut accompagner le progrès inébranlable, se trouve
dans une situation de quasi-obsolescence avant même son achèvement. Dès la fin
des années 1960, la presse s’inquiète de ces travaux infinis dont le coût ne
cesse d’augmenter, et l’intérêt des abattoirs publics est remis en question, au
profit de structures locales. À peine créé, cet immense complexe industriel est
déjà en retard. Aussi, dès 1970, d’autres futurs s’envisagent. Ce terrain en
bordure du nouveau périphérique, dans un quartier pauvre, devient alors un
formidable lieu d’expérimentation. Avant la fermeture des abattoirs en 1974, un
théâtre est déjà aménagé dans l’ancienne bourse, et par la suite un cirque, une
brocante, le premier skatepark de France, et même un dragon, mythique sculpture
et jeu pour enfants de François Ghys. Pour Jean Sérignan, alors chargé de
l’aménagement du secteur, il s’agit de ne pas laisser ces lieux à l’abandon
tout en encourageant les expérimentations où l’espace devient une surface libre
à conquérir. L’architecture, elle, est sans importance. Une méthode intuitive,
que l’on appellerait aujourd’hui préfiguration, étayée par les études de
l’APUR, de laquelle émerge rapidement l’idée d’un futur parc avant un premier
concours d’idées en 1975. Pendant ce temps, on libère des emprises bâties en sélectionnant
les bâtiments qui seront conservés. En 1980, Adrien Fainsilber remporte le
concours du musée des Sciences et des Techniques, reconversion de la salle des
ventes des abattoirs. Ce contexte permet au gouvernement Mitterrand de faire de
la Villette l’un des premiers Grands Travaux. Outre la réhabilitation de la
grande halle, le concours pour l’aménagement du parc est lancé en 1982. Il
s’annonce d’emblée comme un moment important dans le monde de l’architecture ;
471 équipes s’y pressent, suivant un programme aussi synthétique qu’intelligent
dans l’ouverture qu’il laisse aux candidats, dans le but de produire les formes
nouvelles d’un « parc du XXIe siècle », rendu à la fois « actif » par les
divers publics qui doivent le fréquenter, « permanent » tant au long de la
semaine que des saisons et surtout « “expérimental” : c’est-à-dire lié à la vie
urbaine, à son rythme et à ses recherches, en permettant des “animations”
renouvelées, au lieu d’un paysage immuable ». Le jury hétéroclite se déchire
cependant, et la polémique qui en découle renforce les attentes à l’endroit du
projet du jeune Tschumi. Si tout parc peut être vu, d’un point formel, comme un
événement dans la ville – en tant que rupture dans la densité, les couleurs,
les revêtements et les ambiances –, celui de la Villette l’est de fait aussi
par sa dimension, son emplacement et son programme, ouvert aux aléas et aux
temporalités multiples de la vie urbaine ; celui de Tschumi enfin assume une
idée de l’événement, qu’il promeut au rang de théorie. De la superposition des
systèmes séparés de lignes (les chemins), surfaces (les pelouses) et points
(les éléments bâtis) doit naître l’événement. Il en résulte un projet dont la
réussite tient au fait de s’être constitué comme un ensemble cohérent sur un terrain
aussi vaste, sans tomber dans l’uniformité. Un parc que l’on aborde
physiquement comme un tout, mais que l’on envisage intellectuellement et qui
continue de se construire par objet.
Des folies événementielles :
Si
chemins et pelouses font partie du vocabulaire identifié des parcs parisiens,
le système de points constitue un élément novateur, bien que par le nom que
leur donne l’architecte, les « folies » s’inscrivent avec malice dans
l’histoire des jardins. La fonction n’y a pas d’importance : l’enjeu de ces
folies en métal rouge est de ponctuer l’espace du jardin. On pourrait alors les
voir comme pure forme, comme des événements architecturaux autonomes. Mais à
travers elles, Tschumi refuse également de créer un monument unique et préfère
disperser leurs effets sur tout le site pour créer ce qu’il nomme événement,
dans une autre définition. Pour lui, cette notion constitue tout d’abord une
accroche critique pour se placer à la fois contre les modernes – l’événement
n’étant pas prévisible, il ne suit donc ni fonction ni forme – et contre les
postmodernes – l’événement ne suivant pas non plus la fiction. L’événement de
Tschumi renoue avec ce qui a lieu dans l’architecture, la forçant ainsi à
sortir de sa situation d’objet d’art. Ces folies restent pourtant ambiguës
vis-à-vis d’une telle définition, tant, d’une part, leur programme est absent,
les plaçant justement à mi-chemin entre bâtiment et œuvre d’art, et tant,
d’autre part, leur forme fait référence à une avant-garde – le constructivisme
russe – dont l’esthétique est réutilisée sans le contenu politique (quoi de
plus postmoderne que cet emprunt ?). Contrairement à l’événement qui advient en
faisant rupture, celui de Tschumi comme ce qui se passe est un événement du pur
présent, généré par lui-même, sans passé ni causes, et sans incidence sur le
futur, de toute façon impossible à maîtriser. Dans ses écrits, la définition
varie cependant d’un texte à l’autre. L’événement est tantôt la surprise qui
peut se dégager au détour d’une rue ou d’un couloir, tantôt ce qui a lieu dans
l’architecture, que celle-ci ne prédit pas mais doit permettre. L’événement est
aussi parfois ce que l’architecte décide en plaçant des éléments comme ces
folies. L’architecture est donc soit l’événement luimême, soit ce qui le crée.
Dans le parc, ces différentes définitions se mêlent dans un flou conceptuel
qui, in fine, fait la richesse des situations rencontrées. Le vide
programmatique des folies, en revanche, pose problème : dès son arrivée à la
tête de l’EPPGHV, Didier Fusillier propose leur réhabilitation afin de les
convertir en lieux fonctionnels à louer pour des activités ponctuelles ou plus
pérennes. Pour celui qui a organisé les manifestations de Lille 3 000 pendant
dix ans, les folies doivent être utiles, et pour cela saturées de programmes.
Dans notre société de l’événementiel – ces cas limites d’événements, totalement
programmés –, ère du tout présent où il doit toujours se passer quelque chose,
le parc comme lieu de contemplation désintéressée ou d’actions imprévisibles et
ses folies superflues ne peuvent plus être. Il en va de même pour les jardins
thématiques que l’on complète aujourd’hui par de nouveaux et, depuis longtemps
déjà, pour un autre objet de la Villette, la Grande Halle. Ce bâtiment purement
utilitaire des abattoirs, devenu patrimoine classé en 1979, est aujourd’hui un
lieu d’expositions temporaires et de spectacles, profitant de la polyvalence de
l’espace. Des objets de différentes natures, donc – mais une même quête de
l’événementiel au présent –, pour lesquels la forme architecturale, au fond,
importe peu.
La philharmonie ; quel événement ? :
De ce
point de vue, le quatrième objet majeur du parc – qui, en termes d’image, a
certainement supplanté folies, jardins et halle – se place à l’opposé. La
Philharmonie complète depuis 2015 un ensemble de bâtiments dédiés à la musique,
avec le Zénith de Chaix et Morel (1984) et l’ensemble Conservatoire-Cité de la
Musique (1990 et 1995) de Portzamparc. Suivant l’esprit général des Grands
Travaux, ces derniers avaient déjà pour but de marquer le territoire par des
programmes d’envergure, tout en utilisant l’architecture pour changer l’image
d’un quartier – une attitude qui a largement contribué à préparer la période
suivante et sa recherche d’icônes. Mais lorsque le dernier projet est annoncé
en 2006, après des années d’hésitations, relancer un quartier en construisant
un bâtiment est devenu une pratique commune pour de nombreuses villes. Les
architectes qui, dans les deux décennies précédentes, avaient été révélés,
parfois avec surprise, par des concours souvent anonymes, sont souvent ceux qui
servent maintenant de tête d’affiche pour cau tionner en amont les
futures réalisations. Le phénomène a changé d’échelle et ne s’intéresse plus
tant au quartier qu’à la ville, placée, elle, dans un réseau de concurrence
mondiale. Ceux que l’on a appelés les starchitectes – un clan resserré de
figures masculines et solitaires – comptent plus que le programme à construire.
Paris n’a pourtant pas besoin de relancer son tourisme, mais s’appuie sur une
demande répétée du monde de la musique classique pour programmer sa prochaine
icône architecturale, une salle philharmonique, sans laquelle la capitale se
voyait incomplète. Bien qu’utile, le programme deviendrait presque prétexte.
L’enjeu annoncé conjointement par l’État et la ville dépasse en tout cas largement
les portes de la Villette. L’événement architectural est annoncé, avec à sa
tête Jean Nouvel. Le projet se veut visible, brillant dans sa coque métallique
et impressionnant, avec son porte-àfaux vers le périphérique qui devait servir
d’écran de projection, finalement jamais utilisé. Bien qu’aujourd’hui louée
pour son acoustique – on reparlera peut-être de sa matérialité dans quelques
années –, la salle principale n’est pas l’argument majeur en faveur du projet.
D’ailleurs, de l’aveu de son architecte, elle « reproduit les courbes et les
plis de l’extérieur1 ». Une coquille aux formes complexes, un programme
emblématique doublé d’une toiture accessible : le futur projet a tout pour
devenir un événement architectural que la presse relaye. Mais il est rapidement
rattrapé par un événement beaucoup plus large et d’un autre ordre, celui de la
crise financière, qui va entamer le goût pour ces architectures visibles et
coûteuses. L’inévitable polémique sur les dépassements de budget ne se fait pas
attendre. Comme en son temps pour le marché de la viande, et comme le veut
souvent le temps long de l’architecture, hésitations et problèmes financiers
placent ce bâtiment dans une situation de contretemps : il arrive trop tard et
ne peut donc être terminé selon les plans initiaux, ni apprécié selon les
critères qui avaient motivé sa sélection. Utilisée pour faire événement,
l’architecture est dépassée par les scandales et le bruit médiatique qui en
viennent finalement à la cacher totalement.
« Fais ce que tu voudras ! » ? :
Trente
et un ans après, que reste-t-il au parc de la Villette ? Une succession
d’événements de natures diverses, comme autant de curseurs pointant des époques
singulières. Leur cohabitation possible est bien la marque du projet initial de
Tschumi, qui avait pensé un parc par objet, permettant donc à la collection de
s’agrandir. Il en découle un espace représentatif de notre conception
postmoderne du temps, morcelée et multiple, non par réel choix, mais comme le
résultat de plusieurs décennies d’aménagement. Si un esprit y subsiste avec bonheur,
l’idée de l’événement tschumien a largement évolué. On ne va plus seulement au
parc de la Villette pour y faire quelque chose que l’on n’aurait pas planifié,
on y est attiré par des manifestations événementielles ou une icône qu’il faut
avoir vue. Dans le parc, il doit toujours se passer quelque chose.
L’utilisateur acteur, même créateur, de l’événement, est devenu au moins
également consommateur. Pour Didier Fusillier, « on reste fidèle au cahier des
charges d’origine. Aujourd’hui, ce document fait plusieurs centaines de pages.
Mais en 1983, il se résumait en une phrase (de Rabelais) : “Fais ce que tu
voudras !” ». La Villette reste un espace de liberté, mais une liberté plus
balisée. Chaque petit fragment rappelle ce que Bruno Latour disait de la Géode,
« une pièce à l’illusion bien contrôlée2 ». Restent les grandes surfaces
ouvertes des pelouses, et d’autres à conquérir : coincée dans un lieu aussi
stratégique qu’enclavé, entre périphérique, faisceau de la gare de l’Est et
moulins de Pantin, la Halle aux cuirs, dernier vestige inconnu des abattoirs,
prépare dans une certaine discrétion sa rénovation, concédée pour un temps
limité à Oasis 21, groupement privé incluant des professionnels de
l’événementiel, un réseau d’écoles privées Montessori et l’association
écologique et sociale Colibris. Ce choix semble s’inscrire dans un mouvement
salvateur récent qui, en lien notamment avec la critique des événements
architecturaux et icônes internationales d’avant-crise, veut produire une
architecture liée à des enjeux de proximité. S’opposant à la production des
années 2000, on rénove à l’aide de programmes voulus alternatifs, et la
succession des événements se poursuit donc. Le risque tient à ce que
l’événement suivant s’oppose au précédent sans le comprendre, entraînant une
situation où contenu et concrétisation architecturale, urbaine et, donc,
sociale, peinent à se rejoindre, jamais synchrones, comme toujours dans ce
parc. Reste à espérer que la Villette saura tirer parti de son histoire pour
dépasser cette limite et qu’à la Halle aux cuirs comme ailleurs, l’EPPGHV
restera fidèle à l’ouverture d’origine, bien nécessaire en ce point pour tendre
véritablement la main à Pantin, afin que ce parc du XXIe siècle ne soit pas
celui de l’individu au point de devenir une succession de clôtures.
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