D’a : Au regard des surcoûts engendrés par des produits « toute option », leur impact tout comme leur pauvreté d’usage, il semble que se repose aujourd’hui la question du générique et du standard… En ce sens, quelle est votre analyse de la situation actuelle en termes de mobilier comme d’immobilier de bureaux ?
Deux situations se contredisent aujourd’hui et traduisent l’idée d’un « bon » et d’un « mauvais » générique. Il y a, d’une part, l’accroissement constant de la technicité qui touche autant l’immobilier de bureaux que le mobilier. Cette tendance venue du nord de l’Europe conduit, en matière de poste de travail, à l’augmentation des requêtes ergonomiques reposant sur une technicité pénible. Je pense notamment aux bureaux réglables en hauteur, conçus autour du seul individu et qui empêchent les formes collectives de travail.
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