Portrait de Julien Boidot et Émilien Robin |
En
dix ans de collaboration, Julien Boidot et Émilien Robin ont
développé une approche exigeante et inventive, qui tente de
dépasser la dimension visuelle de l’architecture pour questionner
la manière dont elle est concrètement produite. C’est dans la
campagne périurbaine, ce territoire situé à l’écart des grands
enjeux liés à la mondialisation, mais pourtant traversé par de
profondes mutations, qu’ils ont réalisé leurs premiers projets.
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Rien ne destine a priori Julien Boidot et Émilien Robin à s’associer lorsqu’en 2001 ils se rencontrent en troisième année d’étude à l’École d’architecture de Nantes. Le premier, qui a grandi dans la région, s’est engagé dans cette voie porté par son goût des choses concrètes et son caractère pragmatique. Le second, passionné par le dessin à la main, avait d’abord songé à devenir architecte naval en s’inscrivant à l’École d’architecture de Strasbourg, avant d’aller chercher à l’ouest un enseignement plus en phase avec ses fortes convictions. À Nantes, Boidot et Robin se retrouvent avec la volonté de réaliser des projets en élaborant une approche cohérente. Parallèlement à la fin de leurs études, ils remportent deux concours d’idées d’urbanisme dans les périphéries de Genève et de Lens. Puis ils travaillent chez Olivier Chaslin à Paris, où ils apprennent les ficelles du métier, se retrouvant vite propulsés à la tête de projets entiers.
Leur diplôme obtenu, chacun s’installe en libéral, et c’est en travailleurs indépendants qu’ils collaborent aux projets d’Armand Nouvet, leur enseignant à l’École de Nantes, alors associé à Thibaud Babled et Marc Reynaud au sein de BNR. Julien Boidot se consacre à des projets d’architecture pour BNR, dont le remarquable immeuble de la rue des Orteaux à Paris (2007-2013). Émilien Robin y pilote des études d’urbanisme, imaginant notamment des opérations denses pour préserver les espaces sensibles des parcs naturels du Nord-Pas-de-Calais. Mais chez BNR comme chez Boidot et Robin, architecture et urbanisme ne sont pas séparés : ils sont pensés en continuité. L’architecture cherche à résoudre des problématiques territoriales, quand l’urbanisme flirte avec l’échelle de l’édifice et du détail. À la confluence des deux, le projet s’efforce d’intégrer les qualités du site, tout en participant à enrichir sa logique. Cette leçon selon laquelle l’architecture fabrique le territoire, Boidot et Robin la font fructifier dans les projets qu’ils réalisent, d’abord séparément, puis ensemble.
Small is beautiful
À peine âgé de 26 ans, Julien Boidot remporte une consultation pour un projet a priori extrêmement modeste à Vaas, petite commune de la Sarthe : la rénovation des sanitaires d’un camping municipal. Par un patient travail de terrain, il convainc les commanditaires de construire deux petits pavillons pour loger les équipements collectifs du camping, et de les relier par une allée tracée le long d’un alignement d’arbres existants. L’architecture est réduite à son strict minimum : dalles en béton, murs en bois, toits en tôle. Mais la position de chaque élément vient enrichir la situation de départ : le pavillon des sanitaires ménage l’intimité des campeurs en les mettant à distance du stade voisin, tandis que le pavillon d’accueil, non prévu dans le programme, marque l’entrée du camping que vient prolonger l’allée. L’intervention d’un architecte acquiert finalement tout son sens dans un contexte qui au départ n’en attendait pas tant.
De son côté, Émilien Robin se penche sur une commande toujours délicate pour un architecte : la construction d’une maison pour ses parents. Dans un contexte d’urbanisation diffuse près de Lorient, il veut prouver que l’habitat individuel ne constitue pas fatalement une nuisance pour l’environnement. Sur un terrain issu d’un redécoupage parcellaire, il limite la surface au sol qu’occupe la maison (60 m2, pour 90 m2 habitables), fait le choix d’une ossature et d’un bardage en bois pour réduire l’énergie grise, et minimise les besoins en chauffage par la conception d’ensemble. Afin de réduire les coûts, les composants sont préfabriqués dans l’atelier du charpentier et mis en place rapidement par une petite équipe. En dépit de cette frugalité, la maison se veut généreuse en espaces et situations offertes à ses habitants, ménageant des volumes contrastés et des ouvertures modulables entre les différentes pièces ainsi que vers l’extérieur.
La condition périurbaine
Après ces aventures séparées, Boidot et Robin se retrouvent et ne cessent dès lors d’être associés. Leur approche s’affirme dans deux projets jumeaux qu’ils réalisent non loin du camping de Vaas : deux salles polyvalentes, dans deux villages de la Sarthe, construites sur un principe analogue malgré des différences notables entre les deux bâtiments. Dans ces communes de moins de 500 habitants, la construction de ce type d’équipement représente un investissement important, tant sur le plan financier que symbolique. L’espace périurbain, si justement analysé par Éric Charmes dans La Ville émiettée, se retrouve en effet marginalisé par les pôles urbains qui captent les activités. Le maintien d’une vie collective est un combat permanent dans ces villages parfois tentés par le repli.
Confrontés à ces situations difficiles, voire tendues, les architectes trouvent paradoxalement une grande liberté, tant dans le processus de conception que dans la construction. Les budgets limités de ces petites opérations autorisent en effet un cadre législatif souple : le marché à procédure adaptée. Choisis sur une simple présentation orale de leurs intentions et de leur démarche, les architectes peuvent d’emblée installer une relation de confiance avec la municipalité, et surtout participer à la définition de la commande. Boidot et Robin engagent alors un travail de médiation avec leurs interlocuteurs. Il s’agit pour eux d’élaborer une « culture commune » : les architectes s’imprègnent du territoire au gré de leurs visites et des rencontres avec ceux qui l’habitent ; et à leur contact, les équipes municipales s’initient progressivement à l’architecture. Les outils privilégiés de ces échanges sont de grandes maquettes-dioramas apportées sur le site, ainsi que des dessins à la main entérinant étape par étape les principes du projet, sans recourir à des images numériques jugées trop figeantes.
Une fois cette méthode enclenchée, Boidot et Robin se concentrent en premier lieu sur le placement de leurs bâtiments. À Pezé-le-Robert, ils installent la salle polyvalente en retrait de la route principale pour maintenir un parvis face à la mairie, devant l’église toute proche. Un léger décalage avec un mur en pierre existant ménage un passage vers le petit jardin à l’arrière. À Saint-Pierre-des-Bois, ils obtiennent que la salle soit implantée au bas du vallon, au fond du terrain qu’occupait le presbytère. C’est ainsi toute cette partie du village qui se retourne, et le lien entre l’ancien bourg et le nouveau lotissement qui se trouve établit.
Éloge du parpaing
Pour ces deux projets à la complexité réduite, Boidot et Robin assurent eux-mêmes les tâches habituellement dévolues aux bureaux d’études structure et fluides ainsi qu’à l’économiste, s’emparant ainsi pleinement des questions techniques pour les mettre au service de leurs intentions. Le même principe structurel est choisi pour les deux salles : des murs en maçonnerie (béton banché pour l’une, parpaings pour l’autre) supportant des charpentes en bois, et sur lesquels viennent se greffer des volumes annexes. Concentrant tous les efforts sur ce gros œuvre, sur ce qui fait la substance de ces édifices et leur confère leur solidité, ils lui font remplir le maximum de fonctions. Le second œuvre est au contraire minimisé, et les réseaux qui ne peuvent être évités sont intégrés à la structure.
Boidot et Robin préfèrent recourir également à des techniques éprouvées et à des matériaux qui peuvent le plus possible être trouvés, voire produits localement – mais sans verser pour autant dans une esthétique du bricolage. Pour la salle de Saint-Pierre, ils conçoivent ainsi un double mur de parpaings – une usine en fabrique à proximité –, au milieu duquel sont glissés une couche d’isolant et les réseaux. Simplement peintes en blanc à l’intérieur, les parois en parpaings exigent en contrepartie une grande maîtrise de la part du maçon. Mais c’est son savoir-faire qui se trouve ainsi valorisé, rendu visible. De nombreux détails d’exécution sont d’ailleurs dessinés directement sur le chantier, à la main. Ils sont le fruit d’une négociation entre les idées de l’architecte et les techniques du bâtisseur, les architectes espérant que cette relation apparaisse comme le « condensé des rapports socio-économiques en présence ».
Ces positions ont été confortées par plusieurs lectures récentes. Celle de l’historien David Edgerton1, qui démontre dans son livre la persistance des techniques anciennes malgré notre focalisation sur l’innovation, comme celle de l’ingénieur Philippe Bihouix2, qui dresse un réquisitoire sans appel de la haute technologie et de ses effets délétères sur l’environnement. Ou encore les écrits de Matthew Crawford3, ce consultant devenu réparateur de motos, qui dénonce la tendance à valoriser les tâches intellectuelles au détriment du travail manuel, pourtant plus propice selon lui à l’épanouissement de l’individu.
Même si Boidot et Robin se gardent de parler d’esthétique, les choix qui déterminent leur architecture lui donnent une véritable cohérence formelle. Par leur dépouillement et leur pragmatisme, leurs projets font écho aux constructions vernaculaires de la campagne environnante. Avec son bardage métallique et ses lignes de toiture, le bâtiment de Pezé évoque ainsi les hangars agricoles. L’enduit beige qui recouvre les murs du projet de Saint-Pierre, percés par de grandes baies vitrées, renvoie autant aux pavillons alentour qu’aux constructions en pierre qui peuplent l’ancien bourg.
Engagement étendu
Le dernier projet livré par Boidot et Robin apparaît comme l’aboutissement de la démarche forgée au cours de leurs dix premières années de collaboration. L’association de trois programmes banals (des ateliers municipaux, un logement et des vestiaires existants), construits avec des matériaux ordinaires, parvient à métamorphoser une simple « plaine sportive » installée dans la forêt de Rambouillet. Les différents programmes sont assemblés en un bâtiment continu, unifié par son toit en tôle métallique noire et son bardage en bois sombre. Le plan en manivelle définit deux espaces dans ses creux. Du côté de la route départementale, une cour sert aux manœuvres des employés municipaux. À l’est, une longue galerie vient marquer l’angle de la plaine sportive. Elle regarde le terrain de foot et la forêt au loin, tout en dévoilant l’activité qui anime l’intérieur des ateliers, grâce à de grandes fenêtres qui servent également de bancs. Le logement est placé dans les deux soulèvements du toit, qui l’ouvrent vers le paysage de la clairière, sans venir pour autant perturber le gabarit quasi domestique de l’ensemble. L’atmosphère qui résulte de cette construction modulaire allongée au milieu des arbres n’est pas sans évoquer l’architecture japonaise, que les deux associés admirent beaucoup.
Boidot et Robin se confrontent aujourd’hui à des commandes de plus grande ampleur, dans des contextes à l’urbanisation plus dense. Sur les bords du lac Léman, à Neuvecelle, où il s’agissait de compléter deux écoles existantes par un ensemble d’équipements, ils ont fait le choix, avec leurs partenaires de l’Atelier PNG, d’éclater le programme afin de ne pas perturber le « grain » de ce quartier suburbain. Les différents pavillons répartis dans la pente et reliés par une galerie délimitent autant d’entre-deux ouverts sur l’extérieur. Le même principe d’éclatement des parties du programme se retrouve dans leur projet combinant logements, commerces et serre, dans le centre-ville de Laval. L’espacement des bâtiments, construits en structure bois, génère une série de cours qui profitent également aux immeubles voisins, tout en permettant la traversée de cet îlot ancien.
L’engagement de Boidot et Robin se prolonge aussi au-delà les frontières de la maîtrise d’œuvre. Tous deux continuent à enseigner : à Marne-la-Vallée pour le premier ; à Paris-Belleville pour le second, où il conçoit les studios de projet qu’il dirige comme des laboratoires pour la mise en place d’une écologie réelle. En 2016, ils ont piloté avec Frédéric Bonnet (Obras) et le collectif Ajap 2014 l’exposition du Pavillon français à la Biennale de Venise. Ce recueil d’initiatives exemplaires émergeant dans cette France dite « périphérique » mettait en avant des démarches proches de la leur. Fait rare pour un architecte praticien, Émilien Robin s’engage aussi dans l’écriture et la critique d’architecture, notamment au sein de la revue Criticat. Julien Boidot passe, lui, deux jours par mois dans le Gers où il est architecte-conseil de l’État, au chevet de ces territoires qu’avec son associé ils connaissent si bien.
1. David Edgerton, Quoi de neuf ? Du rôle des techniques dans l’histoire globale, Seuil, 2013.
2. Philippe Bihouix, L’Âge des low tech. Vers une civilisation techniquement soutenable, Seuil, 2014.
3. Matthew Crawford, Éloge du carburateur. Essai sur le sens et la valeur du travail, Lea Découverte, 2010.
Chronologie
1981 : naissance de Julien Boidot à Briey et d’Émilien Robin à Troyes.
2001 : rencontre à l’École d’architecture de Nantes.
2006 et 2007 : diplômés de l’École d’architecture de Nantes.
2009 et 2010 : lauréats de deux salles polyvalentes dans la Sarthe.
2010 : installation dans le 12e arrondissement de Paris.
2012 : étude de régénération pavillonnaire « Build in My Front Yard » à Pont-Audemer.
2014 : lauréats des Albums des jeunes architectes et paysagistes.
2015 : lauréats d’un pôle petite enfance à Conlie (Sarthe), d’une salle polyvalente avec restaurant scolaire à Beaumont (Puy-de-Dôme) et de 10 logements à Rennes.
2016 : cocommissaires de « Nouvelles richesses », l’exposition du Pavillon français à la Biennale internationale d’architecture de Venise, avec Frédéric Bonnet (Obras) et le collectif Ajap 2014.
Camping municipal à Vaas
[ Maîtrise d’ouvrage : commune de Vaas – Shon : 120 m2 – Coût : 165 000 euros HT – Livraison : 2009 ]
Maison de vacances à Moëlan-sur-Mer
[ Maîtrise d’ouvrage : privée – Shon : 113 m2 – Coût : 164 000 euros HT – Livraison : 2009 ]
Salle de loisirs et de culture à Pezé-le-Robert
[ Maîtrise d’ouvrage : commune de Pezé-le-Robert – BET : Sunsquare, Peutz – Shon : 237 m2 – Coût : 410 000 euros HT – Livraison : 2011 ]
Salle polyvalente à Saint-Pierre-des-Bois
[ Maîtrise d’ouvrage : commune de Saint-Pierre-des-Bois – BET : Sunsquare, Peutz – Shon : 250 m2 – Coût : salle, 458 000 euros HT ; jardin, 20 000 euros HT – Livraison : 2014 ]
Ateliers municipaux et logement dans la forêt de Rambouillet
[ Maîtrise d’ouvrage : Ville de Poigny-la-Forêt – BET HQE : Sunsquare – Shon : 391 m2 – Coût : 600 000 euros HT – Livraison : 2016 ]
Équipements et services publics à Neuvecelle
[ Maîtrise d’ouvrage : Ville de Neuvecelle – Architectes associés : Atelier PNG – Shon : 2 000 m2 – Lauréats en 2016 ]
Restructuration de l’îlot Saint-Tugal à Laval
[ Maîtrise d’ouvrage : Ville de Laval, Méduane Habitat – BET : BECB, Fiabitat, Alternative acoustique – Shon : 1 200 m2 – Coût : 2 075 000 euros HT – Lauréats en 2014 ]
Votre premier souvenir d’architecture ?
JB :
Les remparts de Saint-Malo, les usines sidérurgiques de
Lorraine.
ER : Un projet pédagogique, « Écriture,
Architecture », à l’école primaire en 1989, animé par
Christian Colomès, architecte, et Mireille Dupouy, psychosociologue.
Que sont devenus vos rêves d’étudiant ?
JB :
Ils se sont précisés.
ER : Pas de rêves, et surtout pas
d’architecture.
À quoi sert l’architecture ?
JB+ER : À légitimer le pouvoir des puissants ou à tenter d’améliorer la vie de ceux qui en ont l’usage, au choix.
Quelle est la qualité essentielle pour un architecte ?
JB :
La résilience.
ER : Avoir des convictions.
Quel est le pire défaut chez un architecte ?
JB :
Se prendre pour un artiste.
ER : Ne pas défendre ses
convictions par arrivisme.
Quel est le vôtre ?
JB :
L’impatience.
ER : Ne pas accepter l’altérité.
Quel est le pire cauchemar pour un architecte ?
JB :
Travailler pour un promoteur.
ER : Que l’un de ses
bâtiments s’écroule.
Quelle est la commande à laquelle vous rêvez le plus ?
JB : Participer au programme Case Study Houses.
ER : Des logements dessinés et construits avec leurs usagers, assistés de quelques artisans-compagnons.
Quels architectes admirez-vous le plus ?
JB :
Glenn Murcutt, Ludwig Mies van der Rohe, Luis Mansilla.
ER :
Glenn Murcutt, Kazuyo Sejima et Ryue Nishizawa, Yoshiharu Tsukamoto
et Momoyo Kaijima.
Quelle est l’œuvre construite que vous préférez ?
JB :
Le Cimentière d’Igualada, par Enric Miralles.
ER :
L’école-jardin d’enfants Montessori à Fuji au Japon, par
Takaharu et Yui Tezuka architects.
Citez un ou plusieurs architectes que vous trouvez surfaits.
JB :
Ceux qui emballent par le biais d’artifices leurs bâtiments.
ER :
La liste est trop longue…
Une œuvre artistique a-t-elle plus particulièrement influencé votre travail ?
JB :
Les photos de Gabriele Basilico.
ER : Non.
Quel est le dernier livre qui vous a marqué ?
JB :
Parle-leur de batailles, de rois et
d’éléphants, de Mathias
Énard.
ER : Dans les Cités,
de Charles Robinson.
Qu’emmèneriez-vous sur une île déserte ?
JB : Un bateau pour la quitter.
ER : Ma femme, mes filles et un ciseau à bois.
Votre ville préférée ?
JB : Celle que je n’ai pas encore visitée et dont je me fais une image mentale.
ER : Le Pré-Saint-Gervais.
Le métier d’architecte est-il enviable en 2016 ?
JB :
Pas du point de vue de mes proches…
ER : Oui, car il est
une multitude de possibles, et non, car l’envie d’Architecture
par de réels Amateurs
n’existe pas, ou très peu.
Si vous n’étiez pas architecte, qu’auriez-vous aimé faire ?
JB :
Un métier qui va de la conception à la réalisation :
cuisinier, compositeur ou réalisateur.
ER : Pilote moto ou
mécanicien.
Que défendez-vous ?
JB + ER : Une certaine idée du beau dans la recherche de cohérence entre formes et conditions de production.
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